I don't think so. It is solely about Monaco (written by a man). There is one in the Fnac list that apparently caused quite a stir and that was the one of Bernard Vatrican. I believe he actually is Monegasque or at least lives here. It is a fairly common name here. But the date is 2005, so I don't think it is this one. It seems that it has to do more with the family.
I found an interesting article where he is mentioned
vsd monaco publication 3
thanks, Paca, in this site
vsd monaco ..., I found a lot articles of Monaco that I had never seen...
I found this book : "Monaco un pays ensoleillé dirigé par un prince magnifique " Didier Laurens
here the resume in french (sorry I translate after)
Malgré son entrée au Conseil de l'Europe, Monaco reste un faux-semblant démocratique. Durant douze mois, Didier Laurens a dirigé le principal hebdomadaire de la principauté. À ce titre, il a pu observer tous les rouages de ce mini-pays, un endroit où personne n'ose s'exprimer au téléphone par crainte d'être écouté, ni porter la moindre critique contre la maison princière de peur de tomber en disgrâce. Dans ce territoire de deux kilomètres carrés, les affairistes font la pluie et le beau temps sous les yeux d'un appareil d'Etat anachronique, sclérosé. Le pouvoir y est confisqué par un prince qui refuse toute évolution vers un régime parlementaire malgré les souhaits de Strasbourg. Démocratie d'opérette où les quelque huit mille Monégasques dits «de sang» imposent unilatéralement leur volonté au reste de la population vivant dans la principauté. Ils accaparent tous les droits, toutes les aides nationales.
Voici les coulisses d'une destination jet-set qui fait rêver toutes les midinettes de la planète, les secrets d'un monde où le cash coule à flot. Un conte de fées monégasque qui est en fait un miroir aux alouettes.
Né en 1956, Didier Laurens a notamment été grand reporter à La Tribune, rédacteur en chef adjoint de 60 millions de consommateurs, du Nouvel Economiste et rédacteur en chef de Investir Magazine. En 2006, il a dirigé Monaco Hebdo, le plus grand hebdomadaire de la principauté de Monaco.
translation :
In spite of its entry with the Council of Europe, Monaco remains a democratic pretence. During twelve months, Didier Laurens directed the principal weekly magazine of the principality. For this reason, it could observe all the wheels of this mini-country, a place where nobody dares to express himself with the telephone by fear to be listened, nor to carry least criticism against the princely house of fear of falling in disgrace. In this territory of two square kilometres, the racketeers make the rain and the good weather under the eyes of an anachronistic apparatus of State, sclerosed. The capacity is confiscated there by a prince who refuses any evolution towards a parliamentary system in spite of the wishes of Strasbourg. Democracy of operetta where the few eight thousand Monegasques known as "of blood" unilaterally impose their will on the remainder of the population living in the principality. They monopolize all the rights, all the national assistances.
Here slides of a destination jet set which makes dream all the shopgirls of planet, secrecies of a world where cash runs with flood. A fairy tale Monegasque which is in fact a mirror with the larks. Born in 1956, Didier Laurens in particular was international reporter to the Platform, editor assistant of 60 million consumers, of the New Economist and editor To invest Magazine. In 2006, it directed Monaco Hebdo, the largest weekly magazine of the principality of Monaco.
Monaco un pays ensoleillé dirigé par un prince magnifique, D. Laurens, Livres sur Fnac.com
here an extract : Extrait du livre :"
LES COULISSES DU PALAIS
À Monaco, pour un journaliste, la consécration, c'est d'interviewer le prince Albert II. Le service de presse du palais est assailli par des demandes en provenance du monde entier. Plusieurs dizaines par jour, preuve s'il en était besoin que les deux kilomètres carrés de la principauté sont toujours un sujet people. Jusqu'en octobre 2006, date à laquelle il a été débarqué, ces demandes étaient filtrées par Jean-Luc Allavena, quarante-trois ans, ex-directeur du cabinet princier et ex-directeur général adjoint du groupe Lagardère Media où, d'après Le Nouvel Observateur, on le surnommait «couilles molles».
À Monaco, une interview du prince Albert II se mérite grâce à une prosopopée vertueuse. Bien que membre du Conseil de l'Europe depuis 2004, la principauté reste une démocratie attentive à ce que l'on publie sur elle. Les carabiniers du palais et les coursiers envoyés par le gouvernement passent dans les rédactions pour prendre des exemplaires des journaux vingt-quatre heures avant leur diffusion, officiellement, pour constituer une revue de presse diffusée aux happy few du régime. Mais aussi pour être certains que les journaux sonnent juste, avant leur mise en vente. Gare aux dérapages !
Ainsi, alors que ma demande d'interview suivait son cours, j'ai rédigé un édito qui commençait par la phrase suivante : «Que fait le prince ?» Cette introduction renvoyait simplement au fait que la nomination de Jean-Luc Allavena, annoncée par tout le monde et confirmée en «off» par le principal intéressé, tardait à s'officialiser. J'ai donc écrit «Que fait le prince ?» pour signifier mon impatience, de la même manière que j'aurais écrit «Que fait Chirac ?» en France. Erreur funeste ! Dès le lendemain, de nombreux coups de fil me signifiaient que l'expression était inconvenante. Sans m'en rendre compte, l'encre de ma carte de travail monégasque encore humide, j'avais franchi la ligne jaune, infraction préjudiciable dans un pays où la moindre invective contre un des personnages de la famille princière peut valoir des mois de prison. En effet, me confièrent des proches du régime, la question «Que fait le prince ?» est cavalière."
SLIDES OF THE PALATE
In Monaco, for a journalist, the dedication, it is of interviewing the prince Albert II. The service of press of the palate is attacked by requests coming from the whole world. Several tens per day, proof if it of it were necessary that the two square kilometres of princi.pauté are always a subject people. Until October 2006, date on which it was unloaded, these requests were filtered by Jean-Luc Allavena, forty-three years, ex-director of the princely cabinet and associated general ex-director of the group Lagardere Media where, according to the New Observer, one called it " testicles soft ".
In Monaco, an interview of the prince Albert II is deserved thanks to one prosopopée (évocation or incantation ) virtuous. Although member of the Council of Europe since 2004, the principality remains a democracy attentive so that one publishes on it. The police officers of the palate and the dispach riders sent by the government pass in the draftings to take specimens of the newspapers twenty-four hours before their diffusion, officially, to constitute a press review diffused with the happy few of the mode. But to as be certain as the newspapers sound just, before their setting on sale. Park with the skids! Thus, whereas my request for interview followed its course, I wrote a édito which started with the following sentence: "That the prince makes?" This introduction returned simply to the fact that the appointment of Jean-Luc Allavena, announced by everyone and confirmed in "off" by the principal interested one, was long in being officialized. I thus wrote "That made the prince?" to mean my impatience, in the same manner that I would have written "That made Chirac?" in France. Disastrous error! As of the following day, many phone calls meant me that the expression was improper. Without me to give of it an account, the ink of my still wet work card Monegasque, I had crossed the yellow line, infringement prejudicial in a country where the least invective against one of the characters of the princely family can be worth months of prison. Indeed, close relations of the mode entrusted to me, the question "Which the prince makes?" is riding."
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